Texte Maurice
Séjour de ski de fond à
Lanslebourg
Quelques façons de suivre son « p’tit bonheur » !
Même si tous les chauffeurs que Philibert nous fait essayer
sont plutôt sympas, on aime bien retrouver pour un séjour, Jérome, dont
l’organisation, la disponibilité, permettent un départ à l’heure, valises et
autres impedimenta rangés là où il faut. Et pas que pour les départs.
En apéritif à notre séjour de ski à Lanslebourg, nos
organisatrices (à cette occasion, adressons nos vives félicitations à Claude)
avaient prévu une halte à Sardières pour une quasi journée de ski. Le soleil
avait un peu dégradé les pistes mais on lui pardonnera tellement il faisait
étinceler le panorama de hauts sommets autour de nous.
Le monolithe de Sardières et des sculptures (Jeannine)
I
l était temps de faire connaissance avec le Centre Edelwess.
Dès les présentations par Didier et Laurence au pot de bienvenue, on a compris
qu’on y attendait des randonneurs chevronnés. Depuis la taille de la douche
adaptée à la sveltesse des « toujours actifs » jusqu’au goûter de 17
H pour récupérer les tas de calories brulées sur les pistes. A table, au fil
des jours, nos neurones fatigués n’auront pas trop de 6 jours pour apprendre
comment ranger les couteaux la pointe en bas ou en l’air et en combien de
plis-égaux- la nappe en papier peut s’enlever !...
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Avant le départ, dans le local à skis, raquettes etc... (Philippe)
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Attente des forfaits (Philippe) |
Dès le 1er jour, on nous offrait un rendez-vous en
terre très connue
: Bessans, dont on apprécie la diversité des pistes, la déférence aux
anciens par la gratuité et une somptueuse salle hors-sac.
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(Philippe) |
Heureux de s’y
réfugier puisqu’après le ski du matin, on était cueillis par des bourrasques de
neige que des fortes rafales de vent nous jetaient à la figure.
Pour compenser peut-être cet accueil plutôt froid, Bessans se
surpassait en nouveautés. Au-delà des incontournables « Rochers du
Château », on bénéficiait d’une trace permettant d’entrer quasiment à ski
dans ce superbe village de Bonneval. Et pour commenter leurs exploits, nos fondeurs ont vite repéré le bien nommé « Le p’tit bonheur » où le vin
chaud était, paraît-il, très au point.
A delà de ces diverses merveilles, il ne faudrait pas oublier
ce qui était donné comme la journée-clou du séjour (mardi).
👈( Philippe)👉
Quand chacun eut
réussi l’épreuve du télésiège, grâce à une démonstration mimée de Didier la
veille au soir, son équipe nous faisait les honneurs de leur chalet d’altitude.
👎(Philippe)👇
Elle nous emmenait d’abord mettre nos pas, au Col du Mont-Cenis, dans ceux
d’Hannibal, de Napoléon et de tous les héros passés par là.
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Photo Christian👆 |
Ce que nous
rappelait la savoyarde, en tenue d’époque, postée au col. Elle nous expliquait
aussi qu’une posture rencontrée par nous de temps à autre, être à la ramasse,
vient des fatigués qu’on montait au Col dans une carriole, une
« ramasse » avant la route décidée par Napoléon pour ses canons.
👈Philippe👎
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👆Didier au fourneau et terrasse ( jeannine)👉 |
Après les oreilles grandes ouvertes, c’était les yeux à la terrasse du chalet aimantés sur le
formidable panorama alentour, tandis qu’on dégustait les mets cuits et grillés à
2082 mètres d’altitude par l’équipe de l’Edelwess. Même si un tel repas était
déjà au top, l’apogée pour les fondeurs consistait à redescendre à skis par
l’ « Escargot ». Un peu gênés parfois par la foule des autres
pratiquants s’égaillant dans tous les sens. Enlevant ainsi quelque remord à
ceux qui avaient préféré le même itinéraire à pied.
Les matins suivants, mercredi, jeudi, sous une neige promise
ou carrément tombante, nous faisaient vérifier le proverbe :
« A trop regarder la météo,
On ne met plus son sac à dos »
On pouvait aussi lors des approches en car écouter Didier se
faire le chantre de sa région et nous la raconter dans sa faune et sa flore.
Sinon, comment aurions-nous pu savoir l’envergure époustouflante du gypaète
barbu ?
Un séjour aussi réussi ne pouvait se conclure qu’en
apothéose. Celle de conduire tous les participants ensemble au « P’tit
bonheur », pas le bistrot, le sentier qui les emmenait retrouver à pied le
car à Termignon.
Bien sûr, la même
ardeur déployée par ces très actifs pour descendre leurs valises bien avant
l’heure, leur faisait gagner le terminus avant les délais. Et donc de retrouver
leur home et/ou leur conjoint dans les 1ères heures de la
soirée.
Le Chemin du Petit Bonheur
et les bagages en attente d'être embarqués dans le car par les quelques restés à Lanslevillard
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Photos envoyées par des participants au séjour
Photos Philippe skateur
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Sardière vers le monolithe 03/03 |
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Sardière fartage au ....foin ....03/03 |
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Bessans foyer de fond 04/03 | |
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Bessans devant Bonneval 04/03 |
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Jean Pierre dans la tempête 04/03 | | | | | | | |
Col du Mont Cenis 05/03
Bessans 06/03
Christian, Elisabeth et Jean Pierre
Cascade de glace
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Vallée d'Avérolle cascade de glace |
Journée du 7 mars Bessans
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Départ de tous les fondeurs |
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Hameau de la Goulaz |
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Vallée d'Averolle, les toits de Vincendière |
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l'Arc |
Journée du 8 mars
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au revoir Lanslebourg !!! |
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le Grand Roc |
Départ sur le sentier du Petit Bonheur en direction de Termignon pour rejoindre le bus
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Dent Parrachée |
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Arrivée vers Termignon |
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Termignon |
Photos Christian skateur
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Au chalet d'altitude : grillades au soleil |
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Repos du guerrier!!!! |
Cascade de glace Bessans
Photos gisèle les "Rouges"
Photos Régis les "Violets"
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Grillades chalet d'altitude |
Photos Jackie Roland
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Mouflon |
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à Termignon , les oursons |
Groupe "Azur" à Bessans👆 et à Bonneval 👇
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la Goulaz village |
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Chez Anouchka du chocolat |
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Tourbe |
Photos famille Martin
Photos Claude "Azur" à venir....