lundi 11 mars 2019

séjour Lanslebourg 3 au 5 mars 2019



Texte Maurice
Séjour de ski de fond à Lanslebourg
Quelques façons de suivre son « p’tit bonheur » !
Même si tous les chauffeurs que Philibert nous fait essayer sont plutôt sympas, on aime bien retrouver pour un séjour, Jérome, dont l’organisation, la disponibilité, permettent un départ à l’heure, valises et autres impedimenta rangés là où il faut. Et pas que pour les départs.
En apéritif à notre séjour de ski à Lanslebourg, nos organisatrices (à cette occasion, adressons nos vives félicitations à Claude) avaient prévu une halte à Sardières pour une quasi journée de ski. Le soleil avait un peu dégradé les pistes mais on lui pardonnera tellement il faisait étinceler le panorama de hauts sommets autour de nous.

 
Le monolithe de Sardières et des sculptures (Jeannine)
Il était temps de faire connaissance avec le Centre Edelwess. Dès les présentations par Didier et Laurence au pot de bienvenue, on a compris qu’on y attendait des randonneurs chevronnés. Depuis la taille de la douche adaptée à la sveltesse des « toujours actifs » jusqu’au goûter de 17 H pour récupérer les tas de calories brulées sur les pistes. A table, au fil des jours, nos neurones fatigués n’auront pas trop de 6 jours pour apprendre comment ranger les couteaux la pointe en bas ou en l’air et en combien de plis-égaux- la nappe en papier peut s’enlever !...


👈Avant le départ, dans le local à skis, raquettes etc... (Philippe)
Attente des forfaits (Philippe)
Dès le 1er jour, on nous offrait un rendez-vous en terre très connue 
: Bessans, dont on apprécie  la diversité des pistes, la déférence aux anciens par la gratuité et une somptueuse salle hors-sac.

(Philippe)
    Heureux de s’y réfugier puisqu’après le ski du matin, on était cueillis par des bourrasques de neige que des fortes rafales de vent nous jetaient à la figure.
Pour compenser peut-être cet accueil plutôt froid, Bessans se surpassait en nouveautés. Au-delà des incontournables « Rochers du Château », on bénéficiait d’une trace permettant d’entrer quasiment à ski dans ce superbe village de Bonneval. Et pour commenter leurs exploits, nos  fondeurs ont vite repéré le bien nommé « Le p’tit bonheur » où le vin chaud était, paraît-il, très au point.
A delà de ces diverses merveilles, il ne faudrait pas oublier ce qui était donné comme la journée-clou du séjour (mardi). 

👈( Philippe)👉
Quand chacun eut réussi l’épreuve du télésiège, grâce à une démonstration mimée de Didier la veille au soir, son  équipe  nous faisait les honneurs de leur chalet d’altitude. 
👎(Philippe)👇





Elle nous emmenait d’abord mettre nos pas, au Col du Mont-Cenis, dans ceux d’Hannibal, de Napoléon et de tous les héros passés par là.


Photo Christian👆
                                                     Ce que nous rappelait la savoyarde, en tenue d’époque, postée au  col. Elle nous expliquait aussi qu’une posture rencontrée par nous  de  temps  à  autre, être à la ramasse, vient des fatigués qu’on montait au  Col dans une carriole, une « ramasse » avant la route décidée par Napoléon pour ses canons.















👈Philippe👎


👆Didier au fourneau et terrasse ( jeannine)👉

Après les oreilles grandes ouvertes, c’était les yeux  à la terrasse du chalet aimantés sur le formidable panorama alentour, tandis qu’on dégustait les mets cuits et grillés à 2082 mètres d’altitude par l’équipe de l’Edelwess. Même si un tel repas était déjà au top, l’apogée pour les fondeurs consistait à redescendre à skis par l’ «  Escargot ». Un peu gênés parfois par la foule des autres pratiquants s’égaillant dans tous les sens. Enlevant ainsi quelque remord à ceux qui avaient préféré le même itinéraire à pied.
Les matins suivants, mercredi, jeudi, sous une neige promise ou carrément tombante, nous faisaient vérifier le proverbe :
« A trop regarder la météo,
On ne met plus son sac à dos »
On pouvait aussi lors des approches en car écouter Didier se faire le chantre de sa région et nous la raconter dans sa faune et sa flore. Sinon, comment aurions-nous pu savoir l’envergure époustouflante du gypaète barbu ?
Un séjour aussi réussi ne pouvait se conclure qu’en apothéose. Celle de conduire tous les participants ensemble au « P’tit bonheur », pas le bistrot, le sentier qui les emmenait retrouver à pied le car à  Termignon.
 Bien sûr, la même ardeur déployée  par ces très actifs pour descendre leurs valises bien avant l’heure, leur faisait gagner le terminus avant les délais. Et donc de retrouver leur home et/ou leur conjoint dans les 1ères heures de la soirée.
👈👆(Photos Philippe)                👆
Le Chemin du Petit Bonheur
et les bagages en attente d'être embarqués dans le car par les quelques restés à Lanslevillard

👈


Photos envoyées par des participants au séjour

Photos Philippe skateur

Sardière vers le monolithe 03/03

Sardière fartage au ....foin ....03/03


Bessans foyer de fond 04/03

Bessans devant Bonneval 04/03




Jean Pierre dans la tempête 04/03


Col du Mont Cenis 05/03



 


 
Bessans 06/03



 Christian, Elisabeth et Jean Pierre


 
 Cascade de glace
Vallée d'Avérolle cascade de glace
 
Journée du 7 mars Bessans
Départ de tous les fondeurs
Hameau de la Goulaz
Vallée d'Averolle, les toits de Vincendière
 
l'Arc


Journée du 8 mars   


 au revoir Lanslebourg !!!







le Grand Roc
Départ sur le sentier du Petit Bonheur en direction de Termignon pour rejoindre le bus
Dent Parrachée




Arrivée vers Termignon
Termignon
Photos Christian skateur


Au chalet d'altitude : grillades au soleil
Repos du guerrier!!!!



Cascade de glace Bessans
Photos gisèle les "Rouges"

Photos Régis les "Violets"

 
Grillades chalet d'altitude

Photos Jackie Roland

Mouflon
à Termignon , les oursons
  Groupe "Azur" à Bessans👆 et à Bonneval 👇

la Goulaz village


Chez Anouchka du chocolat





Tourbe
Photos famille Martin










Photos Claude "Azur" à venir....